Comment reconnait-on un patient boulimique ?
La boulimie touche toutes les couches de la société. Toutefois, ce sont les femmes qui représentent le gros lot des patients consultés dans le monde. Ainsi, en France, on estime qu’elles sont à peu près 83 % des boulimiques, ce qui constitue environ 2 % de la population féminine. Et si les hommes peuvent aussi en souffrir, il faut reconnaitre qu’ils sont très peu aussi bien en France que dans le monde. Alors, comment reconnaitre le patient boulimique ?
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Le patient boulimique est reconnaissable à son addiction à la nourriture. En effet, il aura tendance à ingurgiter une quantité impressionnante d’aliments. Toutefois, il faudra bien différencier la boulimie de la gourmandise. Dans ce dernier cas, on parlera plutôt d’un appétit excessif basé sur une préférence pour des mets agréables.
Le patient boulimique consommera des aliments sans en ressentir forcément le besoin. Par ailleurs, en plus de son rapport pathologique à la nourriture, il faudra compléter le dégout qu’a le boulimique de sa propre personne.
Généralement, les boulimiques souffrent de dépression et présentent des signes très visibles d’anxiétés.
La boulimie, lorsqu’elle n’est pas vite traitée, peut conduire à des crises plus graves. Le patient atteint pourra contracter une œsophagite et même développer une anorexie. L’anorexie est la forme opposée de la boulimie et se caractérise par le dégout pour tout ce qui est aliment.
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Comment soigner la boulimie ?
La boulimie est un trouble du comportement alimentaire ou TCA. Elle est causée par des facteurs génétiques et psychologiques auxquels on associe des facteurs liés à l’environnement. Dans l’un ou l’autre des cas, ce trouble se manifeste dès lors que l’individu ressent :
- un excès d’ennui associé à une envie d’exister ;
- un sentiment d’injustice ou d’abandon ;
- un besoin de calmer sa nervosité ou plutôt de l’extérioriser ;
- etc.
Aujourd’hui, il existe de nombreux traitements pour guérir un patient atteint de la boulimie. On conseillera sans nul doute de prendre rendez-vous chez cette psychologue parisienne. Toutefois, à la psychologie, il est important de compléter des thérapies efficaces.
Dans le premier cas, les psychothérapies cognitivo-comportementales permettent d’atteindre des résultats très probants en matière de guérison.
Dans le second cas, diverses thérapies, les unes aussi efficaces que les autres seront employées. À ce titre, l’hypnose ericksonnienne est réputée pour modifier de façon significative l’opinion que le boulimique a de sa propre personne. Cette thérapie est d’autant plus efficace, si le boulimique bénéficie d’une thérapie de groupe combinée à l’appartenance à un groupe de soutien.
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En somme, la boulimie n’est pas une fatalité. Néanmoins, il est important de vite prendre le mal au sérieux afin d’éviter des complications.
