Les céphalées de tension chroniques et psychosomatiques peuvent représenter un poids très important et engendrer un mal-être allant bien au-delà de la douleur physique ressentie lors des épisodes de céphalées. Souffrir fréquemment et être constamment dans l’attente de la souffrance transforme les céphalées de tension chroniques en une douleur psychologique réelle. Nous explorons ici avec vous des conseils intéressants pour retrouver un soulagement profond sur la durée.
Sommaire
Les causes ou l’origine des céphalées de tension
Les céphalées de tension chroniques peuvent rendre le quotidien pénible à de nombreuses personnes. Il se caractérise par une sensation de tête lourde qui est pour le moins incommodante. Difficultés à se concentrer, douleurs intenses et gêne : les céphalées de tension sont désagréables à vivre. La description la plus courante à ce sujet parle de l’impression d’avoir la tête enserrée dans un étau.
Il s’agit d’un mal encore relativement peu connu en réalité, par la médecine conventionnelle. Comme le souligne certaines pages axées sur les céphalées de tension chroniques et psychosomatiques à l’instar de santeinfini.fr, l’individu qui souffre reste en général le seul à pouvoir clairement identifier les réelles causes de sa souffrance, ce qui signifie aussi qu’il doit être l’acteur principal sur la voie du rétablissement ou de la libération.
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Les facteurs qui favorisent ou induisent l’apparition des céphalées sont dans tous les cas nombreux, et ils varient selon les individus.
- Le stress reste le facteur le plus courant, en association avec la fatigue. Les personnes qui sont particulièrement anxieuses ou qui dorment mal sur une période donnée peuvent également développer les céphalées de tension sur une certaine durée. Les raisons déclenchant un excès de stress varieront selon les individus (surmenage, émotions négatives…), ce qui souligne une fois de plus la nécessité pour chaque patient de suivre un chemin personnel dans la voie vers la guérison.
- Les causes physiques ne sont logiquement pas le sujet lorsqu’on parle de céphalées de tension psychosomatiques (lié parfois à des difficultés psychiques et d’une forme de dérégulation du cerveau/système nerveux), mais il faut noter qu’une posture défavorable des muscles du cou, la consommation de l’alcool ou du café en excès, ou encore des troubles visuels non corrigés peuvent aggraver les céphalées de tension psychosomatiques.
Les solutions pour être soulagé des céphalées de tension
Ces maux de tête n’ont par définition aucun lien avec des troubles physiques. Les céphalées de tension chroniques et psychosomatiques sont par ailleurs généralement sans lien avec d’autres types de maladie : faire un chemin personnel et déterminer l’origine de la douleur est donc primordial pour espérer se débarrasser de ce trouble. Et dans ce processus vers le mieux-être qui est parfois long et complexe, se faire accompagner ou aider par des personnes ayant vécu et vaincu la céphalée de tension chronique, peut être un des meilleurs atouts que l’on puisse avoir. Profiter de l’expérience partagée sur ce type de pages reste un des raccourcis les plus efficaces quand l’on entreprend d’avancer avec courage sur le chemin vers la guérison.
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La méditation
La méditation est reconnue pour ses bienfaits psychiques et physiques. C’est une activité qui apaise naturellement, et dont les répercussions sur notre état général de bien-être peuvent se mesurer dès les premières séances. La méditation se déroule de manière similaire, indifféremment des objectifs physiques ou spirituels recherchés. Il s’agit souvent de chercher à atteindre un état de relaxation et de détente complet, puis de focaliser son attention sur soi en limitant au maximum les distractions. Il est également courant de répéter inlassablement des phrases apaisantes dans l’objectif de ressentir des émotions précises que l’on aura choisies.
Les céphalées de tension chroniques peuvent avoir une certaine dimension obsédante. Ce mal occupe l’esprit en permanence. La méditation peut représenter à cet effet une belle manière d’apprendre à s’évader, et en conséquence à minimiser l’emprise que peuvent avoir ces maux de tête sur le mental et le quotidien de la personne qui en souffre.
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La sophrologie
À l’instar de la méditation, la sophrologie peut doter le patient d’outils intéressants pour lutter contre les céphalées de tension. Par exemple, certains exercices de visualisation ou de respiration peuvent se révéler parfois efficaces. Comme pour le cas de la méditation, l’idée est d’aboutir à un état de calme optimal pour avoir un effet positif sur le système nerveux de la personne concernée, et pour l’apaiser. Les exercices de sophrologie les plus courants sont simples à pratiquer, et il s’agit en général simplement de pratiquer des techniques de respiration basiques pour un contrôle sur soi. Inspirer sur 4 temps, faire une pause de 2 temps en retenant l’air dans les poumons, puis expirer également sur 4 temps : il s’agit par exemple d’un classique pour se détendre facilement.
Profiter d’un sommeil plus réparateur et d’une meilleure alimentation
Dans la plupart des cas et pour éliminer la cause la plus courante (comme mentionné plus haut), le premier pas consistera à mettre l’accent sur une meilleure hygiène de vie de manière générale. Pour combattre le stress et la fatigue, la solution la plus pratique est de miser sur de bonnes nuits de sommeil.
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- Aménager sa chambre en optant pour tous les petits changements requis pour s’y sentir plus tranquilles et plus apaisés au moment du coucher est essentiel. Les couleurs vives sont à proscrire dans la décoration. La lumière bleue des écrans est évidemment reconnue comme nocive pour la qualité du sommeil. Il faut donc s’en éloigner plusieurs heures avant de se mettre au lit.
- Il peut être utile de pratiquer certaines activités relaxantes ou un sport doux avant d’aller se coucher. L’objectif reste de se détendre et de se préparer physiquement à une nuit de sommeil reposante. L’écriture, le dessin, ou la lecture par exemple sont des choix très efficaces pour se relaxer en toute tranquillité.
- Pour ce qui touche à votre régime, il est conseillé d’ingérer des aliments contenant du tryptophane. Cet acide aminé est connu pour ses effets sur notre organisme, et spécifiquement dans la sécrétion de l’hormone du sommeil. Les poissons, le persil, le chou, le riz complet, les amandes ou les noix sont des choix qui conviendront pour votre dîner.
En définitive et en raison de l’inefficacité des solutions classiques, une des meilleures approches pour se débarrasser des céphalées de tension psychosomatiques reste d’avoir le courage de s’essayer à des approches personnelles, de préférence avec l’aide de quelqu’un qui peut aider de son expérience effective, loin des approches purement théoriques.
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